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 The story of a life

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Zack Kalen
Humain
Zack Kalen


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MessageSujet: The story of a life    The story of a life  I_icon_minitimeVen 30 Sep - 14:27

Chapitre 1 : La nouvelle

Point de vue d'Alexander


Comme tous les matins, je me lève à six heures trente, seulement pendant les cours bien entendu, je ne suis pas fou quand même, et je pars direction la douche. Une vingtaine de minutes plus tard, je sors de la salle de bien muni de ma serviette.

Moi (pensant) : Quelle idée d'oublier ses vêtements sur le lit. Je ne suis vraiment qu'une tête en l'air, heureusement qu'elle est bien attachée à mon cou, sinon, je serais capable de l'oublier sur mon oreiller.

Dix minutes plus tard, me voilà prêt à descendre pour prendre mon petit-déjeuner. Oui je sais, je suis très long, même mes parents m'en font la remarque de temps en temps. Comme ils le disent si bien, je suis pire qu'une fille. Ce n'est tout de même pas de ma faute si je préfère ressembler à quelque chose plutôt qu'à un sac poubelle. Ce n'est pas un crime j'espère, si ?

Bon trêve de blabla. Je ne vais tout de même pas vous enquiquiner avec tout ça.

Claire : Alex, dépêches-toi tu vas être en retard au Lycée.
Moi : Oui, m'man.
Claire : Je parie que tu as encore passé deux heures dans la salle de bain.
Moi : Et ?
Claire : Tu es vraiment pire qu'une fille, mon fils.

Tiens, qu'est-ce que je disais.

Philippe : Ta mère a parfaitement raison. Au fait chérie, j'ai quelque chose à te dire. Mon patron m'avait. . .

Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing

Zut, je ne vais pas pouvoir entendre la suite, bon si jamais c'était quelque chose de grave, je serais mit au courant, tôt ou tard. J'allai ouvrir la porte, comme souvent, il s'agissait de Cécilia, et une fois n'est pas coutume, qui se trouve dans l'encadrement de la porte ? Et oui, comme toujours c'était Cécilia. Elle me fit la bise.


Cécilia : Salut Lex, comment ça va ?
Moi : Super bien, et toi ?
Cécilia : Normal.
Moi : Bon on ferait bien de bouger sinon, on va être en retard.
Cécilia : Ouais j'avoue.
Moi : Au revoir m'man, au revoir pa', à ce soir.

Je pense qu'ils ne m'ont pas entendu, tant pis, je pris mes clés et ferma la porte. Je n'allais quand même pas attendre éternellement que mes parents répondent.

Moi : Alors, quoi de neuf Lili ?
Cécilia : Bof, rien que du vieux, mes parents se sont encore disputés. Et toi ?
Moi : Dur. Ben moi pour le moment rien.
Cécilia : Pour le moment ?
Moi : Ben peut-être qu'il va y avoir quelque chose. Enfin, cela ne me concerne peut-être pas, mais plutôt mon père.
Cécilia : Ah, et qu'est-ce qu'il a ?
Moi : Son patron lui a dit quelque chose, mais je ne sais pas quoi, tu es arrivée au même moment.
Cécilia : Désolée.
Moi : Pas grave, t'inquiète, je le saurai sans doute ce soir, si jamais c'est important.
Cécilia : Ouais, tu as raison.
Moi : J'ai toujours raison.
Cécilia : Ça va les chevilles ? Elles n'enflent pas trop ?
Moi : Ça va, ça va.
Cécilia : Pff, crétin va.
Moi : Bon, le crétin va en sport, à plus crétine.
Cécilia : On est déjà arrivé, ben dis donc, j'ai l'impression que la route était moins longue que d'habitude.
Moi : Ce n'est qu'une impression, ne t'inquiète pas.
Cécilia : Ouais, allez à plus.

Et elle partit vers les labos, car elle avait cours de Chimie. Comme vous l'aurez compris nous ne sommes pas dans la même classe, malheureusement. Quoique, avec elle dans ma classe, je ne pourrais plus me concentrer pendant les cours.

J'allai donc vers la salle de sport. On avait volley, personnellement, ce n'est pas le sport que je préfère, mais je n'avais pas le choix.

Ellipse jusqu'au soir.


Me voilà rentré à la maison après une journée de cours plus que crevante. Enfin, c'est fini. Je monte dans ma chambre, et commence mes devoirs pour le lendemain tout en étant sur mon ordinateur. Faut bien que j'y sois, sinon, comment feriez-vous pour me lire en ce moment ?

Claire : A table les enfants !

Quoi, il est déjà vingt heures ? Parfois, le temps passe vite quand même.

Philippe : Les enfants, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer, mais les deux sont complémentaires. Nous allons déménager au Canada.
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Zack Kalen
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MessageSujet: Re: The story of a life    The story of a life  I_icon_minitimeLun 3 Oct - 8:28

Chapitre 2 : Un lourd Secret

Précédemment :
Philippe : Les enfants, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer, mais les deux sont complémentaires. Nous allons déménager au Canada.
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Moi : Quoi ? Non... Non, je ne veux pas partir d'ici, et tu ne m'y obligeras pas.
Claire : Alexander, tu parles à ton père sur un autre ton. Laisses-le au moins finir.
Moi : D'accord, vas-y, fini. La bonne nouvelle a vraiment intérêt à être bonne.
Philippe : En fait, quand je dis nous, c'est plus vous mes enfants. Vous partez sans nous.
Alison : D'accord, je comprends mieux, vous voulez vous débarrasser de nous.
Claire : Alison, ne dis pas de bêtises, nous n'avons pas le choix.

A se moment-là, je vis que maman avait les larmes aux yeux. Je fis un coup de coude discret à ma sœur qui elle aussi l'avait remarqué.

Moi : Maman, qu'est-ce qui a ?
Claire (en se ressaisissant) : Ri... rien.

Je n'insistai pas. Finalement, peut-être qu'ils ne voulaient pas nous faire partir. Il devait se passer quelque chose d'assez grave pour qu'ils veuillent nous envoyer aussi loin. Mais qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Je n'en savais strictement rien. Quoi qu'il en soit, ils devaient vouloir nous protéger. S'ils nous disaient au moins de quoi il s'agissait, qui sait, Alison et moi pourrions peut-être les aider. Je détestai véritablement d'être dans l'ignorance la plus totale. Mais au fait, ils nous envoient au Canada, mais où exactement, et aussi...

Alison : Où allons-nous habiter ?

Ma sœur lisait-elle dans mes pensées ? Nan, je suppose qu'elle s'est dit la même chose que moi. Bon, mon cher Alexander, arrête deux secondes de te parler à toi-même et écoute ce que tes parents ont à te dire.

Philippe : Vous irez chez votre tante.
Moi & Alison: Depuis quand avons-nous une tante au Canada ?
Philippe : Depuis toujours.

Nous allions vraiment de nouvelle en nouvelle. Tout ceci commence à être véritablement lourd à porter.

Moi : Et quand partirons-nous ?
Philippe : Samedi.
Moi : Quoi ? Dans deux jours ! Vous ne pouviez pas nous prévenir avant ?

C'est vrai quoi, nous avons seulement un jour pour dire au revoir à tout le monde, faire nos valises et tout et tout. Mais, attends voir, peut-être qu'ils ne le savaient pas encore hier que nous devions ma sœur et moi partir. Est-ce en rapport avec le début de conversation de ce matin. Mais pourquoi est-ce que Cécilia est arrivée au même moment ? Et surtout, pourquoi tout à coup il fallait partir au bout du monde. Mais que ce passait-il à la fin ? J'avais vraiment l'impression que mes parents n'avaient pas confiance en nous, mais aussi, peut-être qu'ils voulaient tout simplement nous protéger d'une terrible vérité. Mais merde quoi, nous n'avons plus cinq ans. Nous pouvons très bien supporter ce qu'ils nous cachent. Enfin, je pense.

Claire : C'est comme ça, et puis c'est tout, vous n'avez rien à dire.

Ces derniers mots prononcés par ma mère furent également les derniers de la soirée. Je suis vite monté, en colère car non seulement je ne voulais pas partir, mais aussi parce que nous n'avions que deux jours pour nous préparer.

De ma chambre, j'entendis ma mère pleurer, et mon père qui essayait de la réconforter, en vain. Faut dire, il n'a jamais été très doué pour ça.

Mais qu'est-ce qui pouvait bien se passer bon sang ? Sur cette question, je m'endormis.


Vendredi 4 Septembre : 17H45

Et voilà, notre dernier jour de cours dans ce bahut est terminé. Je n'ai pas eu le courage de dire à Cécilia que nous ne nous reverrons sans doute plus. Du moins, pas avant quelques mois voire quelques années. Et pourtant il fallait bien que je lui dise. Mais comment ?

Tiens, quand on parle du loup, Cécilia m'appelle.


Moi : Oui allo.
Cécilia : Alex, pourquoi ne m'as-tu rien dit ?
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